Sur les 7 points que compte la convention d’application de la charte du parc national des Cévennes, 6 ont été approuvés fait savoir un conseiller. Entre 2022 et 2028, la mairie s’engage désormais sur différents points établis au préalable par le Parc. Le premier est lié à la gouvernance.
L’élu référent ne sera autre que Christophe Bouquet, directeur de la grotte de la Cocalière. Les membres du conseil ont également voté la modernisation de l’éclairage public de l’entité. Pour ce faire, les aménagements réalisés dans la commune limitrophe de Meyranne pourraient être présentés afin qu’ils aient connaissance d’un projet particulièrement bien abouti.
Un éclairage qui a comme objectif de luter contre la pollution lumineuse et qui se veut respectueux des besoins de la biodiversité. Outre l’exonération de la TFNB, la promotion de la technique de la construction en pierre sèche a été accepté. Accompagné techniquement par le parc, ce point vise la réalisation d’un chantier significatif au minimum sur la période de 6 ans.
Porté à bout de bras par différents élus et particulièrement par Eddy Raepsaet, le projet d’aménagement aux abords de La Chapelle a naturellement retenu la totalité des suffrages. Si l’identification et diagnostic des biens vacants sans maître fut plus difficile à aboutir, il est à noter que le diagnostique d’un atlas de la biodiversité communale a été refusé.
« Cette approbation aurait pu avoir des effets contradictoires avec d’autres projets souhaités par le conseil municipal » nous rapporte un conseiller.