Lundi 17 janvier, le maire, Jean Bernard, et la quasi-totalité du conseil municipal recevaient la députée, Annie Chapelier venue présenter ses vœux.
Cette dernière a profité de son passage pour annoncer son retrait de la vie politique.
Née en 1967 à Winsor au Canada, membre d’Agir Ensemble, elle a décidé de revêtir à nouveau la blouse blanche et de reprendre son travail d’infirmière « dans ce contexte sanitaire où je serai certainement plus utile », fait-elle savoir.
Durant son mandat, commencé en 2017, le conseil a particulièrement apprécié sa disponibilité même si certains regrettent que ses nombreux passages n’ont pas été concrétisés par des aides financières.
La venue de l’édile gardoise a permis d’aborder les dossiers liés au forage, l’assainissement ou à la fibre.
« Mettre tout en aérien alors que sera enterré bientôt est un non-sens » reconnait-elle, impuissante. Un débat entre Annie Chapelier et l’élu Christophe Bouquet s’est porté sur les bassins de décantation et la prolifération de moustiques.
« La présence du moustique est un problème réel », reconnaît ce dernier. L’élu Eddy Raepsaet a évoqué le projet de La Chapelle. Grâce à une aide du sous-préfet, Jean Rampon, de Carole Delga et de la conseillère départementale, Cathy Chaulet, ce ne sont pas moins de 84 000 € que ce jeune élu a déjà obtenus.