Dans le florilège des personnes qui subissent les conséquences de la pandémie, les étudiants ne sont pas en reste. C’est ce que nous avons pu constater à la grotte de la Cocalière ce début de vacance de Toussaint. « Ce 19 octobre, la moitié des élèves de ma classe n’a pas trouvé de stage et nous sommes 60» informe Pauline, en 2ième année BTS tourisme à Nîmes.
Dans la promotion de Diana, en orientation tourisme et comptabilité, « nous n’avons pas eu de mal étant donné la polyvalence de l’orientation » informe-t-elle. Une situation qui ne fait que souligner les difficultés du secteur du tourisme cette année. Si Pauline a bénéficié de l’appui de son professeur, Monsieur Gateau, Diana a reçu les recommandations de son copain, qui avait déjà travaillé à la grotte de la Cocalière.
Origine de Belvezet, Pauline y travaille à l’accueil, la billetterie ou encore la boutique: « on m’a même proposé de guider les groupes » affirme-t-elle, heureuse de ce nouveau challenge. Elle ne se voit d’ailleurs pas bosser en agence plus tard mais bien en extérieur dans ce genre de structure « relativement » familiale. Diana est originaire de Roumanie.
Etudiante à Alès où résident ses parents, elle maitrise 4 langues et parle déjà parfaitement le français. Elles remercient toutes les deux les frères Bouquet de continuer à soutenir les stagiaires malgré les difficultés que nous connaissons tous