Un, deux, quatre, huit, douze, le nombre de personnes se plaignant de dégâts de sangliers survenus au potager, aux pieds de raisin de table, aux murets écroulés, est en augmentation. Certains jardins sont visités plusieurs fois et la vue d’ensemble est assez apocalyptique. Les déjections de ces animaux sont caractéristiques et ne laissent aucun doute sur l’identité de ces visiteurs nocturnes. Quelques personnes installent à leurs frais des clôtures électriques pour protéger leurs biens. La cohabitation devient difficile, que faire ?